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Brigitte Jammot : La Souterraine A... Venir, ce blog est le vôtre!

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Politique

 

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La Souterraine A...Venir

Motion Ligne PARIS - CHATEAUROUX LA SOUTERRAINE LIMOGES

 

(Crédit Photo : Trivago.fr)
(Crédit Photo : Trivago.fr) 

Cette motion présentée par le Groupe d'Alternance lors de la séance du Conseil Municipal du 30 juin 2009 a été adoptée à l'unanimité (de même que celle du Groupe Majoritaire) :

Considérant les effets induits du projet de Ligne à grande Vitesse Limoges -Poitiers pour la gare de la Souterraine, vitale pour la desserte du département de la CREUSE : raréfaction des arrêts,  trajets vers Limoges pour rejoindre la LGV engendrant un temps et  donc un coût supplémentaire, arrivée dans une gare saturée à Paris…. 

 

Considérant l’évolution conséquente des voyageurs en gare de la Souterraine depuis 10 ans (de 100 000 à 155 000 voyageurs) confortée  notamment par  l’attrait de la liaison Brive-Lille

Considérant le coût du projet  qui bénéficie quasi exclusivement à Limoges au détriment des départements de la CREUSE et de l’INDRE et sa réalisation lointaine 

 

Demande instamment  la réalisation d’une ligne à grande vitesse PARIS-CHATEAUROUX-LA SOUTERRAINE-LIMOGES qui  présente plusieurs avantages indéniables : 

 

- irriguer la CREUSE sans nuire à LIMOGES qui serait toujours à 2H15 de PARIS 

 

- atteindre, selon les estimations de RFF,  un coût raisonnable soit un quart seulement  de celui  du projet LGV Poitiers-LIMOGES

 

- contribuer à une véritable politique d’aménagement du territoire , tenant compte des contraintes environnementales et des contraintes budgétaires.

Par ailleurs, les Sénateurs de l'INDRE, Messieurs MAILLET et PINTON ainsi que le Député de la CREUSE, Mr AUCLAIR ont engagé une démarche auprès de Mr Dominique BUSSEREAU, Secrétaire d'Etat aux Transports pour défendre cette liaison essentielle en terme d'aménagement du territoire. 

 

Le Grenelle de l'environnement plus que jamais à l'ordre du jour...

 

(Crédit Photo : Ministère de l'Aménagement du Territoire)
(Crédit Photo : Ministère de l'Aménagement du Territoire) 

Les élections européennes ont livré plusieurs constats :

-         L’union fait la force

-         Parler d’Europe était le sujet essentiel aux yeux des français

-         L’environnement et l’écologie sont une préoccupation majeure et les partis politiques qui agissent en ce domaine ont marqué des points

A cet égard il paraît important de rappeler le chemin parcouru sous l’impulsion du Président de la République en ce domaine, l’écologie s’inscrivant désormais avec le Grenelle de l’environnement, au cœur des politiques publiques à la suite d’un débat démocratique.

Le projet de loi, actuellement soumis à l’examen de l’assemblée nationale en deuxième lecture, est la traduction des engagements pris à l’automne 2007 par l’ensemble des acteurs de la société. En première lecture il a été adopté à la quasi unanimité des députés (526 voix pour, 4 contre).

Il   propose un nouveau modèle de croissance et sa mise en œuvre est une priorité de l’action du Gouvernement  Elle représente 440 milliards d’€ d’investissements sur 20 ans et la création de 550 000 emplois.

Ce texte poursuit 3 objectifs principaux :

-         La réduction des émissions de gaz à effet de serre de 20% d’ici 2020

-         La réalisation de 20% d’économies d’énergies

-         Le dépassement du seuil de 20% d’énergies d’origine renouvelable d’ici 2020

L’objectif final est de parvenir au « facteur 4 » (diminution par 4 des émissions de gaz à effet de serre) d’ici 2050

Cette stratégie nationale d’ampleur inégalée jusqu’à présent se décline autour de la lutte contre le changement climatique dans le bâtiment, les transports, l’énergie, l’urbanisme et la recherche ; la préservation de la biodiversité et des milieux naturels avec des mesures concernant l’eau, l’agriculture, la forêt, la mer, le littoral ; la prévention des risques pour l’environnement, la santé et la gestion des déchets ; l’exemplarité de l’Etat, la mise en place d’une nouvelle gouvernance et la prise en compte de la spécificité de l’outre-mer.

D’importantes mesures fiscales ont d’ores et déjà été votées dans la loi de finances pour 2009 et  la loi de finances rectificative pour 2008 et  sont mises en œuvre. De même des dispositions visant à accélérer le Grenelle ont été inclues dans le Plan de relance (ex : prêt à taux 0 pour les travaux de rénovation, bonus-malus en matière automobile…).

En matière de déchets ménagers l’objectif est d’en réduire la production de 5kg par an et par habitant pour les 5 prochaines années , d’augmenter le recyclage et de limiter les quantités incinérées ou stockées.(article 41)

Les collectivités territoriales seront impliquées dans les objectifs précités  avec notamment l’obligation de définir des « plans climat énergie » territoriaux avant 2012.

Le projet de loi portant engagement national pour l’environnement (Grenelle II) dont l’urgence a été déclarée par le gouvernement viendra compléter cette mutation écologique en faveur d’un développement économique et social maîtrisé, durable et prenant en compte les limites de nos ressources naturelles.

Si un cadre national est nécessaire tel que le Grenelle  de l’environnement le définit afin que notre pays soit exemplaire en ce domaine, seule une action concertée menée au niveau européen peut peser  de manière efficace dans les discussions internationales. On a vu sous l’impulsion de la présidence française en 2008 le conseil européen adopter le « paquet climat-énergie en décembre.

L’union européenne a conforté ainsi son rôle moteur dans la recherche d’un accord mondial ambitieux et global à Copenhague en  décembre 2009, la France ayant en ce domaine un train d’avance sur les Etats-Unis.

Au-delà des accords internationaux, nous sommes  face à un véritable enjeu de survie qui doit tous nous mobiliser dans notre vie quotidienne et dans notre action publique locale.

(Parution au Bulletin Municipal - Juillet 2009)

 

 

HALBERG : le soulagement pour SONAS...

 

(Crédit Photo : Sonas Automotive)
(Crédit Photo : Sonas Automotive) 

Après une période d’incertitude difficile à vivre pour tous les salariés et les familles concernées, j’exprime au nom du groupe d’Alternance ma satisfaction de voir le groupe HALBERG reprendre SONAS. C’est le sauvetage d’une entreprise, d’un savoir-faire et  celui du bassin d’emploi de la Souterraine et bien au-delà.

Chacun a mené le combat qu’il estimait devoir mener pour réduire au maximum les pertes d’emplois.

Néanmoins, ce dénouement est aussi et avant tout l’expression de l’engagement sans faille du Gouvernement dans le cadre du plan de relance et de la persévérance  des services de l’Etat dans les Ministères concernés pour faire avancer les discussions de manière constructive avec les différentes parties prenantes au dossier.

22 juin 2009

 

La peur des réformes

 

Tous les Français manifestent un profond attachement à un principe fondamental : l'égalité. Toutefois, en ce début de XXIème siècle où notre pays opère un passage difficile d'une économie industrielle à une économie post industrielle nécessitant les réformes nécessaires, nous sommes tous angoissés par l'avenir. Aussi, nos adversaires politiques,  utilisent le plus vieil argument pour discréditer les actions entreprises par le gouvernement Fillon : la PEUR ! Il est très facile d'exploiter cet argument lorsque l’on n’a rien de constructif à proposer pour régler les problèmes.

 

 

 

 

 

 

Dans le domaine de la santé, on nous parle de la mise en place d'une médecine à deux vitesses : l'une pour les riches, l'autre pour les pauvres. Mais, cette situation n'existe-t-elle pas déjà ? De plus, elle n'a pas été mise en place par le gouvernement actuel ! La médecine n'est pas un service public. Donc, si elle se trouve dans la situation présente, ce n'est pas la faute des gouvernements successifs mais de l'usage de la loi par les prestataires de services. Notre système de santé se heurte à une conjoncture extraordinairement difficile : un accroissement du nombre de soins à fournir à une population de plus en plus âgée et des coûts des dits-soins en forte croissance. Une réforme des soins et de l'hôpital s'impose donc. Le projet  de loi Bachelot (loi Hôpital, Patients, Santé, Territoires) répond aux attentes d'une majorité des Français : rendre l'hôpital plus proche des patients en coûts et en services. En effet, si l'accroissement pléthorique des dépenses de soins se poursuit, la sécurité sociale à laquelle nous sommes tous très attachés disparaîtra. Or,  l’objectif poursuivi par cette réforme, c’est bien le sauvetage de notre système de santé à la française.

 

 

 

 

 

 

Deuxième objet de polémiques : l'éducation. Si nous écoutons les Cassandre, les effectifs des classes deviendront pléthoriques. On parle de 39 élèves dans des classes de maternelles ! De plus, la qualité de l'enseignement disparaîtrait. C'est deux arguments sont à remettre en cause. M. le Ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, a interdit depuis la rentrée de 2008 des effectifs supérieurs à 35 élèves par classe. Cette mesure est innovante puisqu'elle n'avait jamais été prise auparavant même par les ministres de l'opposition actuelle ! Il faut aussi ajouter l'objectif clairement défini du ministre : réintroduire un enseignement de qualité dans notre système éducatif. Le gouvernement actuel a maintenu les dépenses pour ce service public auquel il est très attaché. Toutefois, pouvons-nous accepter  la faible qualification des diplômes décernés à nos jeunes ? Doit-on maintenir des Bac pro qui ne fourniront aucun emploi pour conserver aux enseignants leurs postes auxquels ils sont légitimement attachés ? Nous attendons tous pour les jeunes une éducation de qualité qui leur permette d'obtenir la qualification de leur choix et non le maintien d'un système qui s'essouffle depuis une vingtaine d'années faute d'ambition. A ce sujet, combien sont les ardents défenseurs de l'éducation publique telle qu'elle existe actuellement qui envoient dans les grandes agglomérations leurs enfants dans les établissements privés ? Contrairement à ce que prétendent certains, jamais les membres de la majorité républicaine se sont permis d'exprimer la moindre critique à l'endroit des enseignants qui font montre de courage et de détermination. Simplement, nous faisons preuve de pragmatisme et nous réclamons des réformes profondes pour rendre le système éducatif français plus proche des attentes des élèves.

 

 

 

 

 

 

Nos adversaires se servent donc de nos angoisses face à l'avenir pour discréditer les actions gouvernementales. Mais ont-ils des contre propositions ? La situation présente est identique à celle d'un train qui aurait deux solutions pour franchir une montagne. La première serait de poursuivre sur la voie sur laquelle il se trouve sachant très bien que le tunnel est obstrué et que le convoie va s'écraser. C'est la solution proposée par l'opposition.

 

 

 

 La seconde est de prendre une voie beaucoup plus difficile sur laquelle le train va se heurter à de nombreuses difficultés. Mais, ce choix nous permettra de franchir la montagne et d'arriver à destination.

 

 

 

 La deuxième solution est celle choisie par le gouvernement Fillon. Lorsque nous aurons atteint l'objectif, et même avant peut-être, il y aura des élections. Si l'opposition républicaine les gagne, elle pourra mettre en œuvre d’autres mesures. Mais soyons lucides, elle ne remettra pas en cause les réformes qui auront été entreprises car elles auront été INDISPENSABLES.

Rémy

07/2009

 

 

 

 

Notre soutien à SONAS AUTOMOTIVE

 

(Crédit Photo : Sonas Automotive) (Crédit Photo : Sonas Automotive) (Crédit Photo : Sonas Automotive)

(Crédit Photo : Sonas Automotive)
(Crédit Photo : Sonas Automotive) 

Le Groupe d’Alternance tient à assurer les salariés de SONAS de son plus vif et sincère soutien dans la période d’incertitude qu’ils traversent actuellement dans l’attente d’un éventuel repreneur. En effet, il est impossible d’envisager la ville de La Souterraine sans SONAS tout en sachant que ses emplois rayonnent bien au-delà du périmètre de la commune.

L’Etat s’est mobilisé au plus haut niveau d’une part en apportant une aide aux constructeurs mais également via la présence de la COFACE comme garantie de règlement auprès des fournisseurs de SONAS. Enfin le cabinet de Luc CHATEL a reçu les élus et les représentants des salariés témoignant ainsi de tout l’intérêt  qu’il porte à ce dossier essentiel pour l’avenir de la CREUSE.

Par delà les clivages politiques, nous sommes tous convaincus de la nécessité de tout mettre en œuvre, avec la participation active des salariés, pour assurer la pérennité de cet outil de travail performant. Chacun œuvre à son niveau de manière plus ou moins visible mais avec le même objectif : faire en sorte que demain, les constructeurs automobiles continuent de faire appel au savoir-faire de SONAS.

 

27/04/2009

Le Groupe d'Alternance

 

 

 

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